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COVID 19 EN FRANCE
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Covid-19 : un masque «tueur de virus» à disposition du grand public
Marc Frouin, directeur général de Bioserenity, annonce le lancement d’une nouvelle référence de masques FFP2 et chirurgicaux dit « virucides », en collaboration avec les labos de recherches de l’Université de Lille. « Nous souhaitons participer à une sortie rapide de la crise sanitaire, en proposant ces masques complémentaires des campagnes de vaccination. »
Quel est l’intérêt du masque virucide CidalTex ?
Marc Frouin : « L’avantage est triple : protection individuelle du porteur, protection collective par neutralisation du virus, et écologique : un masque usagé ne devenant pas source de contamination. Pour rappel, il ne s’agit pas d’un virucide déposé en surface mais bien de filtrer les flux d’air dans les deux sens tout en tuant le virus grâce à un élément biologique actif... »
Où ces masques seront-ils produits et à quelle quantité ?
« Les masques de la gamme CidalTex®, comme les autres masques BioSerenity, sont produits dans notre usine de Troyes dans l’Aube... Notre parc se compose de seize lignes moyenne cadence et une ligne très haute cadence capables de fabriquer plus d’un million de masques par jour. »
Le grand public pourra-t-il en bénéficier à court terme?
« Les masques intégrant la technologie CidalTex ont été certifiés dispositif médical (CE) et sont donc disponibles à la vente dès maintenant... Nous souhaitons vivement participer à une sortie rapide de la crise sanitaire, en proposant ces masques, qui sont complémentaires des campagnes de vaccination »
– Si oui : quand, où et à quel prix?
« Les masques CidalTex® FFP Médical seront disponibles dès ce mardi 16 février, en volume à un prix unitaire de 0,98 € HT pour les professionnels, et au prix public de 1,49 € TTC pour les particuliers. Les masques CidalTex® Chirurgical IIR seront quant à eux disponibles le 22 février, à un prix unitaire de 0,29 € pour les professionnels et 0,44 € l’unité pour les particuliers. S’agissant de masques médicaux certifiés, nos partenaires pour la distribution sont les pharmacies et les acteurs qui offrent les garanties nécessaires de respect des règles relatives à cette catégorie de produits. »
Achat Masques Made in France
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Covid-19 : gros succès du petit crochet pour ouvrir les portes sans les mains. Permet d’ouvrir les portes ou de pousser son caddie sans y mettre la main.
Le crochet multi-usages qui pèse 19 g et mesure 8 cm a déjà beaucoup de succès.
Le crochet multi-usages qui pèse 19 g et mesure 8 cm, n'a l'air de rien et pourtant, après 20 prototypes différents, il permet d'ouvrir des portes, de composer son code bancaire ou d'appuyer sur un bouton d'ascenseur sans devoir utiliser ses doigts ou sa main. « Le risque de transporter le virus avec la main est plus grand qu'avec le crochet car, pour la première, la surface de contact est de plusieurs centimètres carrés contre seulement quelques millimètres pour le second » . En une semaine, un millier de crochets, a été commandé chaque jour. « L'idée de devoir toucher toutes les portes de frigos ou de congélateurs du supermarché devenait assez effrayante, le petit crochet rend les courses un peu moins stressantes »
Pour le commander , envoyer un message sur CONTACT et laisser nous vos coordonées .
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L’hypertension multiplie par deux le risque de décès du Covid-19, selon une étude
Dans cette étude publiée dans l'European Heart Journal, des chercheurs chinois et irlandais ont examiné rétroactivement les données des personnes admises entre le 5 février et le 15 mars à l'hôpital Huoshenshan de Wuhan (centre), la ville épicentre de l'épidémie.
Près de 30 % des personnes admises, soit 850 patients, souffraient d'hypertension. 4 % de ces patients sont morts contre 1,1 % pour ceux qui ne souffraient pas d'hypertension. Après ajustement pour tenir compte des différences d'âge, de sexe et d'état de santé, les chercheurs ont calculé que le risque de décéder de Covid pour un hypertendu admis à l'hôpital était deux fois supérieur aux autres.
Les auteurs restent quand même prudents
Prudents les auteurs soulignent que ces études sont purement observationnelles et non pas basées sur des essais cliniques. Donc, s'il n'est pas question de faire des recommandations cliniques définitives, ils donnent tout de même plusieurs conseils. Ils ont remarqué dans une autre analyse intégrant les données de cet hôpital avec celles de trois autres études que les malades qui prenaient une catégorie de médicaments contre l'hypertension, les inhibiteurs du Système Rénine-Angiotensine (SRAA) avaient un risque plus faible de décès par rapport à ceux traités avec d'autres médicaments. Mais là encore, la prudence s'impose compte tenu de la faiblesse du nombre de patients concernés.
Toutefois, selon les auteurs, « il est important pour les patients souffrant d'hypertension de réaliser qu'ils ont un risque accru de décès du Covid-19 », explique l'un d'eux. Et d'ajouter que les patients hypertendus qui ont cessé de prendre leur traitement présentent un risque encore plus grand de décéder. « Nous suggérons aux patients de ne pas arrêter ou modifier leur traitement habituel contre l'hypertension à moins que cela ne leur soit demandé par leur médecin », le professeur Ling Tao de l'hôpital Xijing.
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Une étude identifie les trois marqueurs qui rendent le coronavirus plus dangereux
Identifier dès leur prise en charge les patients les plus susceptibles de succomber du Covid-19, pour les traiter en priorité : voilà le résultat d’une étude menée sur les premiers patients atteints à Wuhan, dès le mois de février. Important pour les systèmes de santé sous tension.
Savoir, dix jours à l’avance, si un patient risque de mourir : une information capitale pour les médecins dans la lutte contre le Covid-19. C’est la promesse faite par cette étude chinoise. En étudiant 375 cas résolus (201 guéris, 174 décédés) parmi les premiers identifiés à Wuhan, les scientifiques ont remarqué trois marqueurs biologiques qui, lorsqu’ils sont réunis, sont révélateurs : la présence en quantités importantes d’une protéine et d’une enzyme, et, inversement, le faible taux de globules blancs. Dans 90% des cas, cette réunion est synonyme d’un patient à haut risque. La bonne nouvelle, c’est que “les analyses sont très simples à effectuer dans tous les hôpitaux”, écrivent les chercheurs dans la revue Nature Machine Intelligence. Et ce, dès le début de la pris en charge.
LDH, lymphocytes, CRP
Une présence trop importante de LDH (pour lactate deshydrogénase), une enzyme présent dans quasiment toutes les cellules vivantes du corps humain, est un premier marqueur. De manière générale, cela correspond souvent à une dégradation des tissus, dégradation associée à plusieurs maladies, dont la pneumonie.
Le deuxième marqueur est un niveau trop bas de globules blancs lymphocytes. Ces lymphocytes, qui constituent entre 20 et 40 % de l’ensemble des globules blancs, ont pour rôle principal l’activation de la défense immunitaire. Un niveau trop bas indique donc que le corps n’arrive pas à combattre le virus.
Enfin, le troisième marqueur est une forte quantité de CRP, ou protéine C-réactive, un marqueur de l’inflammation. C’est un signe important pour le pronostic d’une maladie respiratoire. Leur présence souligne un état inflammatoire persistent.
Gérer la vague
La réunion de ces trois marqueurs doit donc être considérée comme particulièrement préoccupante. Mais elle doit aussi permettre une meilleure prise en charge : “dans les hôpitaux surchargés”, écrivent les auteurs de l’étude, “ce simple modèle peut aider à prioriser rapidement les patients, particulièrement pendant une phase de pandémie dans laquelle des ressources hospitalières limitées doivent être réparties.” Soit précisément le fond du problème qui a conduit au confinement, pour éviter que la vague ne submerge les hôpitaux.
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Que faire si on pense avoir des symptômes ?
Les premiers symptômes d'une infection au coronavirus ressemblent à ceux de la grippe : fièvre, toux, douleurs musculaires, fatigue... puis elle dégénère et se caractérise par des difficultés à respirer. "La maladie démarre de façon bénigne et puis vers le 8e jour ou 10e jour, il y a un certain nombre de patients qui s'aggravent de façon conséquente, c'est un processus pas très habituelle en maladie infectieuse" remarque le Dr Catherine Leport, responsable de la mission Coreb lors d'une table ronde au Sénat le 26 février 2020. Il existe des formes asymptomatiques et bénignes, ce qui distingue ce nouveau coronavirus du virus du Sras (un autre coronavirus) qui ne se manifestait que par des formes sévères, et retarde le diagnostic.
En cas de signes d'infection respiratoire dans les 14 jours suivant le retour de Chine (Chine continentale, Hong Kong, Macao), de Singapour, de Corée du Sud, d'Italie ou d'Iran :
- Contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et du séjour récent en Chine (Chine continentale, Hong Kong, Macao), de Singapour, de Corée du Sud, ou des régions de Lombardie, de Vénétie et d'Emilie-Romagne en Italie.
- Évitez tout contact avec votre entourage et conservez votre masque.
- Ne pas se rendre chez son médecin traitant ou aux urgences, pour éviter toute potentielle contamination.
Un virus qui se transmet bien plus par les mains que par la salive : lavez-vous les mains souvent !
Comment éviter la transmission ?
Comme il n'y a ni vaccin, ni médicament efficace contre le coronavirus, le meilleur moyen de s'en protéger est l'application de mesures d'hygiène. Si beaucoup se ruent sur l'achat de masques, il faut savoir qu"ils n'ont "aucun sens si on ne se lave pas les mains puisqu'en pratique on touche des surfaces contaminées. l'hygiène des mains est donc fondamentale" a martelé le Pr Jérôme Salomon. Il est recommandé de se laver les mains après avoir toussé, éternué, avant et après avoir préparé à manger, avant de manger, après être allé aux toilettes, après avoir manipulé des animaux... Autre réflexe à prendre quand on sort de la maison : emmener du gel antibactérien avec soi pour désinfecter les mains en l'absence d'eau et de savon.
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